Extrait du livre "le carré d'or de la haine" de Boel Souleymane
Dans l'illicite les amis ne sont que des dangereuses contrefaçons ou les confiances aveugles finissent souillées par la trahison des gens qui finiront soit par te tuer ou soit par te ramener leurs ennemis qui te tueront à la moindre occasion. J’ai vu des gens venir sous l'apparence de très belles colombes finirent par festoyer de la chair des cadavres de leurs potes comme des vautours. Comme si les loups avaient revêtu la laine des agneaux pour mieux leurs sauter à la gorge. Un jour trois types ont décidé de faire le casse d'une bijouterie ensemble qui appartenait à l'oncle de la petite amie d'un d'entre eux Le braquage avait été orchestré comme une partition de Mozart. Chacun avait tenu son rôle. Seulement au moment d'aller à la planque il leurs a lâchement tiré dessus pour garder la totalité. L'homme en revenant s'est ensuite fait empoisonné par la fille qui s’était juste sexuellement servi de lui pour finir obtenir la recette du casse et retourner auprès d'un homme cocaïnomane qu'elle a trouvé mort à son retour d'une overdose. C'est toujours plus facile de mentir aux autres qu'a sois même mais la toile du tableau de l'illicite à été peint avec le sang des hommes. Ce milieu ne m'a jamais intéressé car j'ai vu l'horreur pouvoir ouvrir sa propre galerie d'art. Ne fait pas la même erreur que mes frères ma mère pleure en silence leurs morts chaque jours. Si une balle dans la tête suffit pour te faire mourir. Une connaissance à la place peut suffire pour te sauver la vie.